Il était une fois...

Une belle aventure et un combat

Une vie et ensuite deux avenirs

Ceci est une vaste réalité

Je suis une jeune femme suissesse et espagnole.
J’ai grandi et passé mon enfance à Genève, plus prescisément à Versoix.
Une très belle bourgade de Genève, dans une situation idillique comme dirant tant. Oui, Versoix est l’une des plus belle commune de Genève. Calme, jolie, paisible et surtout jouissant d’une belle sécurité. C’est pour cela que l’on appelle aussi la commune familliale. Il y’a vraiment tout. A tel point que quitter la commune pour le centre ville nous est presque pénible.
Le lac à proximité. Les commerces sont très proches des habitations.
Il y’a aussi pour ne pas me déplaire. Des grandes espaces de verdures et de natures propices pour la marche et les pic-nics. il y’a des écoles publics comme privés de très bonne réputations mondiale.
Tout cela pour arrivé à imager le cadre de vie sécurisé et riche auquelle j’ai eu à profiter pendant mon enfance et mon adolescance.

A que je sache depuis petite fille et adolescante. J’ai toujours rêvé d’avoir ma propre vie radieuse et ma propre famille. J’ai souvent rêvé du prince charmant et d’une grande famille. Et oui, je suis du Sud donc la famille à beaucoup d’importance. J’ai toujours eu comme projet de créer ma famille. C’est mon GOAL. Le « touchdown of my life »! Ce qui est certain avec le temps on découvre que le prince charmant est plutôt rare. Sans desespoir, je continue à rêver mais voilà le temps guête chaque femme. Le temps est un fardeau et l’obsession d’une grandit avec.
J’ai pris à le temps de bien chercher les solutions et les ressources que j’avais à disposition. La quarantaine approchant. J’ai desidé de me lancer toute seule dans cette aventure. Oui, les princes charmant et la sécurité du couple s’éloignant. Oblige à un certain choix.

J’ai réussi à être fertilisé et être enceinte. Je vous dis pas quelle aventure et difficulté pour une femme. Le succès n’est pas forcément garantie. Pendant cette galère, c’est le stress au quotidien. Avec un certain âge, la grossesse parcours certains nombre de risque.

J’ai eu contact également avec une psychologue afin de m’aider. Mais voilà la belle aventure de mes projets et ma vie s’arrête là.
J’ai découvert que la psychologue à jouer de ma personne. J’avais une totale confiance car elle faisait partie des HUG. Mais cette psychologue m’a dénoncé auprès du SPMI afin que mon enfant soit arraché sur mon lit d’accouchement. Soit disant pour le bien de mon enfant.
Je n’ai pas eu le temps de savourer l’accouchement. Je n’ai pas eu le temps de nouer le lien mère fils. La chair de ma chair a été éloigner de moi.
Je vous laisse imaginer le bouleversement et la terrible nouvelle que j’ai découvert petit à petit. J’ai tous les jours peurs pour mon fils. On m’accorde des droits de visite. Le seul moment lorsque j’entend droit de visite. C’est uniquement à la télévision dans les séries TV policier. J’ai l’impression de visité mon fils en prison. J’ai découvert que la seul reproche que l’on me fait était le fait que j’étais ASPERGER.
Je suis diagnostiqué asperger très tardivement. Je l’ai découvert sur le tas.

J’ai fait une scolarité normal. j’ai fini l’école obligatoire. J’ai fait un cfc de commmerce. J’ai fait par la suite l’école de culuture générale que j’ai terminé avec succès. J’ai fait une maturité fédéral également. Je me sentais pas si éloignait de la réalité car je n’ai jamais eu à avoir tant de difficulté après l’accouchement.

Je lutte tous les jours pour le retour de mon fils. Je suis brouillé par les institutions. Une fois que la machine est lancé. Il est impossible de leurs faire dévier de leurs chemin et faire un constat d’erreur. J’ai la main et l’esprit pris dans cette horreur d’erreur. Car au bout du compte, certaines personnes viennent de comprendre la grave erreur commise à mon égard. Car ils ne savaient pas du tout mais pas du tout ce qu’est le symdrôme d’asperger.
Parfois pour ce défendre, ils essaient de me faire passer pour une égard. Mais non, hélas pour eux… Je suis bien lucide. Combative et prêt à tous les efforts pour mon fils chéri.

Je vis de douleurs et de peines comme toute mère qui serait éloigné de son enfant. Mais encore pire, je vois q’il essait de faire adopter mon fils. Car il est impossible pour l’institution d’admettre leurs erreurs. « David contre goliath ». Heureusement que j’ai des amis et de l’aide des associations genevoise. Comme l’histoire est suffisament grave pour être citée dans les journaux. Je ne suis pas tellement chaude pour cela. C’est pour la discrétion et futur de mon fils. C’est également pour cela que j’hésite à contacter le monde politique. En suisse, il est interdit sous motif d’handicap de retirer un enfant à ces parents. Cela s’apparente à l’eugénisme et dans le passé en Suisse. Il y’a eu l’histoire des enfants placés.

Ce qui est terrible pour moi. C’est ce que subit mon fils. Je ne dis pas qu’il est maltraité. Mais le fait qu’il ait pas une identification maternelle. Qu’il aie pas un cadre familliale. Peuvent lui provoquer des troubles futures. Je l’aime. Je l’ai tant désiré. Mes nuits sont sans fin. Je pleure beaucoup.

Actuellement, je me bat pour par que mon fils aille en famille d’accueil. Ce qui signifierai de facto adoption. Mon fils me reconnait pas comme mère. J’ai besoin de créer un lien mère fils. Mais le temps de visite octroyer est beaucoup trop peu. Je fais comme des visites de prisons. Des plus, toute est visite est sous haute surveillance. Prêt a scrutté tout erreur possible afin de justifié ce crime. Pire il est descidé que j’aurai 2 heurs touts les 2 semaines pour voir mon fils, sans oublié que tout cela se passe en Suisse. Un pays de carte postale. Pour lui, tous les adultes et intervenants sont comme des parents. Il est claire que mon fils va avoir des troubles due à cette situation.Je suis très mal car l’erreur vient de moi. Je culpabilise d’avoir fait confiance en une dame qui n’avait aucune idée de ce qu’est l’asperger et de mes droits.

Afin de sécher mes larmes et de garder confiance. Je crée ce blog comme un exécutoire et un livre de doléance. Je peux m’exprimer et faire comprendre enfin mon point de vue. Un fil conducteur avec mes sentiments et mon combat.
Ma vie et ma chair, mon fils je t’aime. Je t’ai désiré depuis des années. Je t’ai porté dans mon ventre. Je veux te donnner l’amour et la sécurité.

Je suis une personne humaine. J’ai de la dignité. J’ai de l’affection. J’ai de l’amour en moi.

enceinte

J’ai réussi à être fertilisé et être enceinte. Je vous dis pas quelle aventure et difficulté pour une femme. Le succès n’est pas forcément garantie. Pendant cette galère, c’est le stress au quotidien. Avec un certain âge, la grossesse parcours certains nombre de risque.
Oui, j’ai finalement réussi à être enceinte.
Un monde nouveau s’ouvre sous mes pieds et de nouvelle responsabilité me parcours l’esprit. Le bonheur et les craintes font un jolie cocktail. C’est pendant ces périodes que je comprends l’appui d’un conjoint est parfoi salvatrice. Je fais le choix de prendre conseil.

Il me faut conseil et renseignement plus pointu. J’ai un peu cherché autour de moi et pris contact avec quelque association sur place. Ces contacts fûrent très intéressant. Il fallait avec le temps un choix médical pour un suivi de grossesse. Je n’ai jamais eu à me plaindre et à me méfier des institusions Genevoise. J’ai donc fait le choix d’aller au HUG (hôpital universitaire Genevois). Sans méfiance et avec une confiance démesurée, j’ai demandé aide et conseils. Je me rappel encore ce moment de soulagement on me disant que je vais avoir l’aide appoprié et désiré.