Mon fils, Mon combat

mon combat

Actuellement, je lutte tous les jours pour le retour de mon fils et, me suis brouillée avec les institutions. Une fois que la machine est lancée, il est très compliqué, voir impossible de la faire dévier de son chemin. Encore moins, imaginer ou faire faire un constat d’erreur.

J’ai les mains et l’esprit pris dans cette horreur d’erreur. Car, au bout du compte, certaines personnes viennent de comprendre la grave erreur commise à mon égard. Ces dernières ne savaient pas du tout, mais pas du tout, ce qu’est le syndrome d’asperger.
Parfois pour se défendre, ils essaient de me faire passer pour une égarée. Mais non, hélas pour eux… Je suis bien lucide. Combative et, prête à tous les efforts pour mon fils chéri.

Je vis dans la douleur et dans les peines, comme toute mère qui serait éloignée de son enfant. Mais, encore pire, je vois qu’ils essaient de faire adopter mon fils. Car, il est impossible pour l’institution d’admettre ses erreurs. « David contre Goliath ». Heureusement que j’ai des amis et de l’aide de certaines associations genevoises. Ceci, en raison du fait que cette histoire est suffisamment grave pour être citée dans les journaux.

Cependant, je ne suis pas tellement enthousiaste à cette idée. En effet, à cause du fait que j’aime la discrétion et, aussi pour le futur de mon fils. C’est également, pour cela, que j’hésite à contacter le monde politique. En Suisse, il est interdit, sous motif d’handicap, de retirer un enfant à ses parents. Mon histoire s’apparente à de l’eugénisme. Dans le passé de la Suisse, il faut savoir, bien que cela puisse paraître étonnant, qu’il y’a déjà eu des histoires d’enfants placés.